venerdì 12 ottobre 2018

Mauro Biglino: les 10 commandements.. Que dit réellement la Bible?

Pour les nombreux amis francophones qui suivent les travaux de Mauro Biglino, et qui "en redemandent" voici un nouvel article.

* Versione originale qui: 
Mauro Biglino: i 10 comandamenti che l’elohim Yahweh diede a Mosè e agli israeliti… Cosa dice davvero la Bibbia? *

L'alliance entre Moïse et son Elohim: dix paroles

Dans l'article précédent, nous avons rappelé que l'affaire du kevòd est associée à la période pendant laquelle Moïse se rendait souvent sur la montagne où vivait l'Élohìm.

L'histoire de la remise des Tables de la loi, que nous connaissons sous le nom de "Dix commandements" ou "Décalogue", s'inscrit dans le même contexte.

Dans ces extraits nous verrons que le matérialisme dont fait preuve cet Elohìm est plutôt éloigné de la vision traditionnelle qu'on nous en présente, celle d'un "dieu" qui s'occupe de l'homme dans son intégrité, corps et âme.

Nous découvrirons qu'il existe souvent une certaine confusion - fortuite ou délibérée? - entre la liste d'instructions données par l'Elohìm et les lois qu'il définit lui-même comme étant les fondements du pacte qu'il a contracté avec le peuple élu (voir Exode 34,27).

L’expression hébraïque qui indique ces lois est devarìm-as asret , "dix paroles" qui nous sont toujours clairement indiquées comme étant celles que "Dieu a écrit sur la pierre" (Ex 34: 28; et 10.4).

C'est donc sur la base de ces dix paroles que toute la religion juive et la religion chrétienne - qui en descend directement - sont sensées être fondées.
Mais les dix paroles explicitement mentionnées par l'Elohìm sont-elles vraiment les mêmes que celles que nous connaissons? ...


Ou plutôt, si nous pensons aux normes qui constituent le premier fondement du judaïsme, parlons-nous des mêmes normes que celles indiquées par l'Elohìm?

Les dix commandements "traditionnels"

Précisons que des siècles de controverses ont opposé les différents commentateurs (Origène, Philon d'Alexandrie, Flavius Josèphe, les Pères de l’Eglise, etc.) qui réunissaient ou décomposaient les différentes instructions, en faisaient des commandements unis ou séparés: la femme et ce qui appartient aux autres, la construction et le culte des images ...

Dans tous les cas, le Décalogue qui nous est présenté aujourd'hui est traditionnellement le suivant:

1. Je suis le Seigneur ton Dieu:
tu n'auras pas d'autre Dieu que moi.

2. Tu ne nommeras pas le nom de Dieu en vain.

3. Souviens-toi de sanctifier les Fêtes

4. Honore ton père et ta mère.

5. Tu ne commettras pas de meurtre.

6. Tu ne commettras pas d'actes impurs (adultère).

7. Tu ne commettras pas de vol.

8. Tu ne porteras pas de faux témoignage.

9. Tu ne convoiteras pas la femme d'autrui.

10. Tu ne convoiteras pas les biens d'autrui.

Cette version est la plus répandue, simplifiée du point de vue de l’énonciation, afin d'en assurer la conservation et d'en faciliter la diffusion mnémonique.

Le catéchisme de l'église catholique

Avant de passer à l'examen des prescriptions plus coercitives que l'Elohìm avait prévues comme étant fondamentales pour le pacte avec son peuple, prenons note de ce que le Catéchisme de l'Église catholique écrit aujourd'hui:

Art 2057: [...]  les "dix parolesindiquent les conditions d’une vie libérée de l’esclavage du péché. Le Décalogue est un chemin de vie ..

Art 2059: Les "dix paroles" sont prononcées par Dieu au sein d’une théophanie. [...] Elles appartiennent à la révélation que Dieu fait de lui-même et de sa gloire. Le don des commandements est don de Dieu lui-même et de sa sainte volonté. En faisant connaître ses volontés, Dieu se révèle à son peuple.

Art 2061: Les commandements reçoivent leur pleine signification à l’intérieur de l’Alliance. Selon l’Écriture, l’agir moral de l’homme prend tout son sens dans et par l’Alliance.

Art 2064: En fidélité à l’Écriture et conformément à l’exemple de Jésus, la Tradition de l’Église a reconnu au Décalogue une importance et une signification primordiales.

Art. 2065: Depuis saint Augustin, les "dix commandements" ont une place prépondérante dans la catéchèse des futurs baptisés et des fidèles ...

Art. 2066: La division et la numérotation des commandements a varié au cours de l’histoire. Le présent catéchisme suit la division des commandements établie par saint Augustin et devenue traditionnelle dans l’Église catholique. Elle est également celle des confessions luthériennes. Les Pères grecs ont opéré une division quelque peu différente qui se retrouve dans les Églises orthodoxes et dans les communautés réformées.

Art. 2067: les dix commandements énoncent les exigences de l'amour de Dieu et du prochain. Les trois premiers concernent principalement l'amour de Dieu et les sept autres, l'amour du prochain.

Art. 2068: Le Concile de Trente enseigne que les dix commandements obligent les chrétiens et que l’homme justifié est encore tenu de les observer. Et le Concile Vatican II l’affirme: "Les évêques, successeurs des apôtres, reçoivent du Seigneur ... la mission d’enseigner toutes les nations et de prêcher l’Evangile à toute créature, afin que tous les hommes, par la foi, le baptême et l’accomplissement des commandements, obtiennent le salut".


Que dit vraiment la Bible? L'analyse littérale

Les questions fondamentales sont:

• Les "dix paroles" auxquelles l'Elohìm fait explicitement référence sont-elles exactement les mêmes que celles que connaissent les doctrines religieuses qui prétendent être fondées sur elles?

• La vision religieuse, qui correspond à un certain type d'exigences éthiques, se reflète-t-elle dans les exigences exprimées par l'Elohìm et introduites dans les préceptes qu'il a lui-même gravés sur la pierre et qu'il a indiqué comme fondements de l'Alliance?

• En d'autres termes: la religion chrétienne a-t-elle donné la juste importance (ou l'a-t-elle amplifiée?) aux concepts exprimés par l'Elohìm?

Poursuivons l'analyse littérale de ce que nous dit la Bible et vérifions.

Nous sommes sur la montagne avec Moïse et nous prenons note d'une première liste de préceptes que l'Elohìm transmet à celui qui sert de porte-parole du peuple.

Dans Exode 20, 2-17, nous avons une série d'indications que nous définirions "génériques", car elles ne font pas l'objet d'une emphase particulière de la part d'Elohìm:

"Je suis Yahweh, ton Elohìm".

«Tu n'aura pas d'autres - au pluriel dans le texte!! - Elohìms en dehors de moi ».

«Tu ne fera point d'images».

"Tu ne serviras pas les autres Elohìm car moi Yahweh, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux" et comment peux-t'on être jaloux de "qui n'existe pas"? Nous nous le sommes déjà demandé ...

De toute évidence, il y avait d'autres Elohìms qui attiraient l'attention du peuple, comme en témoigne toute l'histoire de la conquête de la Terre promise ...

"Vous n'utiliserez pas le nom de Yahweh, votre Elohim, en vain": il y avait donc d'autres Elohìms, avec d'autres noms ...

"Souviens-toi du jour du sabbat pour le sanctifier. [...] le septième jour est un sabbat consacré à Yahweh, ton Dieu : tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bétail, ni l'étranger qui est dans tes portes."

"Honore ton père et ta mère".

«Tu ne tueras point».

«Tu ne commettras point d'adultère»: notons que les "actes impurs" indiqués dans le Décalogue traditionnel ne sont pas présents ...

"Tu ne déroberas point".

"Tu ne porteras point de faux témoignages".

"Tu ne convoiteras point la maison de ton prochain ; tu ne convoiteras point la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa servante, ni son boeuf, ni son âne, ni rien de ce qui appartient à ton prochain.

D'autres instructions suivent:

• sur la façon de construire l'autel pour les sacrifices;

• une série d'indications juridiques sur les peines à infliger pour différents types de délits tels que le meurtre, les dommages causés aux personnes, aux biens ...

• une série d'instructions relatives à la nécessité de construire un système de coexistence pour créer une vraie société civile.

Disons simplement qu'on n'y trouve aucune allusion aux tablettes de pierre, rien n'indique que ce qui est prescrit revête une importance particulière et, surtout, l'expression que nous connaissons sous le nom de "dix paroles", et qui est sensée énoncer les règles fondamentales de l'Alliance, n'ai jamais employée!


Les tablettes de pierre que Yahweh donne à Moïse

Les tablettes de pierre n'apparaissent que dans le passage suivant:

Dans les chapitres du 21 au 31 (onze chapitres entiers!), Yahweh fournit:

• les indications sur la construction du sanctuaire destiné à son culte: la tente, le mobilier composé d'éléments divers, les meubles, les autels, l'enceinte, la tenue des prêtres, leur consécration, la désignation des artisans chargés de la réalisation de l'ensemble.

• Yahweh souligne à nouveau l’importance du repos sabbatique, de la cessation de tout travail: un précepte à observer pour toujours, sous peine de mort!

Immédiatement après, le verset 18 du chapitre 31 dit que, lorsqu'il eut fini de parler, il donna à Moïse les "deux tablettes de pierre".

Mais la Bible ne dit rien au sujet de leur contenu; Nous ne savons donc pas pour le moment quels étaient les principaux éléments de l'ensemble de la législation dont l'Elohìm avait parlé avec Moïse sur la montagne. Bien entendu, ces tablettes de pierre ne pourraient pas contenir l’ensemble des prescriptions décrites dans les onze chapitres que nous avons résumés ici.

Ce que nous savons, c’est que Moïse descend de la montagne en les tenant en main, encore ignare du fait que le peuple n’avait pas perdu de temps: il s’était immédiatement consacré au culte d’un autre Elohìm. Ils avaient construit un veau en or (une idole de dérivation égyptienne), prouvant ainsi que la jalousie de Yahweh - celui qui était en train de devenir leur Elohìm - était définitivement motivée!

Pris de colère devant cette trahison, Moïse jette les tablettes au sol et les casse! Il faut croire qu'il savait qu'il pourrait en avoir d'autres, car nous ne pouvons imaginer qu'un homme puisse prendre la liberté de rompre un tel objet s'il s'agissait d'un don divin unique et irremplaçable.

Les nouvelles tables de pierre: de nouveaux accords pour renouveler l'alliance ...

Le dialogue avec l'Elohìm reprend et c'est à ce moment que la démonstration du "kevòd", dont nous avons parlé dans le chapitre précédent, est introduite.

Immédiatement après (34.1), l'Elohìm dialogue avec Moïse au sujet des tablettes de pierre qu'il a rompu: Yahweh (étrangement) ne s'en prend pas à lui pour son geste inconscient; la rupture des tablettes n’est évidemment pas une question qui mérite d’être approfondie et, puisqu'il a brisé les précédentes, il lui dit simplement de se procurer deux autres tables sur lesquelles il réécrira ce qu'il avait déjà écrit la première fois.

Moïse, tôt le matin,  remonte sur la montagne avec les nouvelles tablettes et Yahweh formule une série de prescriptions précédées de la déclaration de renouvellement du Pacte (voir Exode 34: 10-26). Il dit essentiellement:

"Voici, j'établis une alliance: devant tout ton peuple, je ferai des prodiges ( ... ) et chasserai les ennemis devant vous ...".

Ensuite, il ordonne à Moïse de respecter ce qu'il lui ordonne, c'est-à-dire:

• «ne pas faire d'alliance avec les habitants du pays»;

• "détruire leurs autels, les stèles, les images et ne pas vénérer leurs dieux";

• "ne pas prendre de femmes du pays pour les enfants d'Israël";

• «ne pas faire d'idoles en métal fondu»;

• "observer la fête des pains sans levain (Azyme) au mois d’Abib";

• "lui réserver tous les premier-nés mâles; racheter les premier-nés des humains avec des dons »;

• "respecter le sabbat après six jours de travail";

• «célébrer la fête des semaines» (récolte, récolte en fin d’année…);

• "présenter chaque enfant mâle devant l'Elohìm trois fois par an";

• "ne pas offrir le sang de la victime sur du pain levé et le sacrifice de Pâques ne devra pas durer jusqu'au matin"

• "donner les prémices de la terre au Seigneur";

• «ne pas faire cuire le chevreau dans le lait de sa mère».

Le décalogue de Yahweh. Très concret, pas du tout spirituel ... et ce n'est pas celui qui est considéré comme vrai par les chrétiens.

Après avoir énuméré ces préceptes détaillés, l'Elohìm dit à Moïse (verset 27) que ce sont les paroles que Yahweh a fait inscrire sur les tablettes car - il le déclare lui-même - c'est sur la base de celles-ci que l'Alliance a été construite.

Ceci est donc le "Décalogue", selon la déclaration même de celui qui l'a dicté!

Un décalogue très peu spirituel visant à définir et à maintenir un rapport contractuel: "Je fais quelque chose pour vous si vous faites quelque chose pour moi" ...

Un décalogue tellement pratique qu'il visait également à préserver la santé d'un peuple qui vivait dans des conditions d'hygiène extrêmement précaires: il suffit de penser que les "commandements" écrits formellement sur les tablettes se terminent par la prescription "ne faites pas bouillir le chevreau dans le lait de sa mère « !

Il s'agissait certainement d'une prescription importante car elle est rapportée trois fois dans la Torah (voir Dt 14.21, Ex 23, 19 et 34,26) et toujours avec la même formulation. Elle était peut-être dictée par une connaissance que nous ne possédons plus ou par le fait que certaines maladies virales des chèvres sont transmises par le colostrum et le lait des femelles?

Il ne faut pas oublier que le concept de "pureté alimentaire" était défini par un terme qui - avant même de définir quelque chose de "sacré" - indiquait ce qui était kashèr, c'est-à-dire "propre" à la consommation ...

Nous pouvons également essayer d'associer cette interdiction à certaines pratiques diététiques actuelles, qui préconisent de ne pas consommer des protéines animales d'origines différentes en même temps.

Ou bien, nous pouvons suivre l'hypothèse de Maïmonide (XIIe siècle de notre ère), qui pensait que l'inclusion de cette règle était motivée par l'idée qu'il s'agissait d'un rite commun aux idolâtres à l'époque des mosaïques et qu'il devrait donc être aboli par le peuple naissant d'Israël.

En tout état de cause, quelle que soit l'explication que nous voulons considérer comme valable, la prescription a été incluse dans les Tables de la Loi, celles qui ont été clairement écrites sous l'ordre direct de l'Elohìm.

Les deux décalogues comparés

Quelle différence avec le décalogue de la tradition chrétienne! Pour la rendre encore plus claire, examinons, dans une vision synoptique, un résumé des deux listes:

Dans la colonne de gauche, les "paroles" que Yahweh a expressément fait écrire dans les Tables et dans la colonne de droite, les Commandements que la tradition de l'enseignement religieux désigne comme étant les Dix qui sont présents dans les mêmes Tables.


En fait, deux listes complètement différentes!

Alors, demandons-nous: "Les prescriptions de la colonne de gauche peuvent-elles être utilisées pour créer une confession comme la religion chrétienne? La réponse est simple: absolument pas!

En effet, si nous examinons les "paroles" que l'Elohìm a insérées dans les Tables de la Loi comme bases de l'alliance, nous réalisons que cette dernière a des fondements d'ordre très pratique; elle repose sur des règles qui ont peu à voir avec l'éthique communément comprise: il n'y a aucune règle concernant l'action de tuer, ni sur le respect de la propriété ou de la femme d'autrui ... Ce pacte est finalement un rapport normal défini entre deux contractants, L’un d’eux est sans aucun doute le plus puissant (L'ELOHIM / ANUNNAKI qui se faisait appelé Yahweh) tandis que l’autre contractant est un peuple qui était en train de naître, avec un besoin désespéré de soutien dans sa tentative de conquérir un territoire où il pourrait vivre.

Conclusions (inévitables) ...

Il ne nous reste plus qu'à examiner de quelle façon les fondateurs du christianisme ont bouleversé l'ordre d'importance des préceptes.

Étant donné qu'ils voulaient créer une religion, ils devaient présenter comme élément fondamental (écrit sur la pierre) des commandements utiles à leurs fins, tandis que les Elohìms, eux, considéraient fondamentales d’autres normes, beaucoup plus concrètes et sur lesquelles il serait difficile de construire une système religieux tel qu'il est communément accepté.

Il suffit de lire attentivement les deux listes pour comprendre la différence substantielle, une différence qui s’explique si l'on sait que l’Élohìm n'avait aucune intention de créer cette religion qui par contre a été artificiellement obtenue à partir des textes.

Ses objectifs étaient bien différents: définir un pacte avec un peuple qui l'aurait servi en échange de son aide dans la conquête d'un territoire où il aurait pu s'établir.

Nous pourrions en conclure que les fondateurs du christianisme ont délibérément occulté les objectifs de l'Elohìm et qu'ils les ont remplacés par les leurs.

Juste après cette transposition, en fait, Mgr Ravasi (Président du Conseil pontifical pour la culture du Vatican) écrit dans son livre 500 curiosités de la foi que le Décalogue reste de toute façon, comme l’a dit Luther lui-même, le meilleur miroir dans lequel on peut voir ce qui nous manque et ce que l'on doit rechercher.

Une déclaration de ce genre ne serait évidemment pas applicable au "vrai" décalogue.

Traduit par Catherine
Fonte: unoeditori.com

34 commenti:

  1. Mauro Biglino,ovvero come spiegare la Bibbia a modo mio e diventare ricco con facilità,Fatta questa mia doverosa premessa,mi accingo a dire che nel corso dei secoli, il Libro dei Libri è stato spesso e volentieri oggetto di discussioni ma anche e soprattutto di numerose manipolazioni e quindi,secondo me,il vero significato del suo messaggio originario,almeno su questa Terra,non lo conosce assolutamente nessuno.Tutti i grandi teologi,filosofi e scrittori che hanno provato a svelare l*arcano non hanno fatto altro che basarsi su tutto ciò che è stato in passato abilmente e a volte volutamente manipolato,per motivi ancora sconosciuti e quindi ognuno è libero di interpetrare questo libro a modo suo,tranne ovviamente coloro che nella notte dei tempi ne scrissero la versione vera e originale.Tutto il resto è noia.Emilio

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    1. Hai ragione dicendo che che i testi antichi sono stati manipolati, e non poco! E soprattutto dai teologi!
      Detto questo Mauro Biglino non pretende spiegare nessun messaggio originario, dice semplicemente che non c'è alcun messaggio divino contenuto nei libri cosiddetti sacri. Soltanto testi (di qualunque natura essi siano, anche se evidentemente vuoti di significati spirituali) riappropriati a fini storici e politici utili. Capito questo, tutto il resto diventa meno noioso ;)

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  2. L'articolo lo trovo criptico, non ci ho capito una parola tranne le foto.

    Libri sacri????
    Garanzie del divino zero, prove zero, prove di autenticità zero, solo parole e persone che si ritrovano a darsi ragione l'un l'altro.
    Nonostante questo è pieno di zelanti credenti che in buona fede sono convinti di essere nel giusto.
    Si chiama la sindrome di Dio.

    L'innata predisposizione umana di seguire qualcuno, un maestro, religione o idea in cui credere, identificarsi, imitare e sottomettersi.

    Che il Dio sia la divinità, un maetro o semplicemente qualcuno innamorato delle proprie idee, che il messaggio arrivi dall'esterno o dalle proprie credenze non cambia nulla, il risultato è sempre sottomissine a pensieri altrui.

    Gianni

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    1. Ahahahah! Da quel che dici penso che hai capito benissimo il senso dell'articolo.
      Ma, a proposito, sei sicuro di aver letto la versione italiana? ;)

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    2. Ma allora è proprio vero che sei una maga.
      Mi hai scoperto GRRRR, avevo letto la versione italiana nel link che hai messo.

      Gianni

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  3. Effettivamente dai commenti ho dei dubbi che abbia capito il senso del libro.

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  4. Anna,bentornata e un saluto affettuoso.Emilio

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  5. L'unico senso che ha un senso o forse non ha senso ma potrebbere essere senza senso o forse no, mi sono aggrovigliato da solo.
    E' che non ci ho capito nulla, si chiama beata ignoranza.

    Gianni

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  6. L'interpretazione allegorica delle Scritture, talvolta perfino in modo arbitrario, era caratteristica della Scuola di Alessandria. Le contraddizioni logiche, che emergono quando si interpreta il racconto della creazione come un resoconto storico, furono espresse molto chiaramente sin dal III secolo da Origene di Alessandria:
    "Quale persona ragionevole supporrà che il primo, il secondo e il terzo giorno e la sera e il mattino esistessero senza il Sole, la Luna e le stelle? E che il primo giorno fosse, come era, anche senza cielo? E chi è così pazzo da pensare che Dio, come un giardiniere, piantasse il paradiso in Eden, verso Oriente, e vi piazzasse un albero della vita, visibile e toccabile, in un modo tale per cui chi assaggiava il suo frutto con denti materiali, ottenesse la vita? E ancora che uno distinguesse il bene e il male, masticando ciò che aveva colto sulla pianta? E, se si dice che Dio passeggiava la sera per il paradiso e che Adamo si nascondeva sotto un albero, io non credo che qualcuno possa mettere in dubbio che questi fatti indichino figurativamente dei misteri, mentre la vicenda ha avuto luogo in apparenza e non letteralmente" (Origene).
    Interpretare questi tipi di testi alla lettera come fa Biglino può portare a seri problemi (come succede col corano e la Jihad). Io mi tengo la scuola Alessandrina e i padri del Cristianesimo esoterico. Attenti a quello che farneticate perché l'odio religioso avanza ed è pericoloso più del Dio alieno della Bibbia a cui piace l'odore del grasso bruciato (?!!?!).

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  7. LE REGOLE INVIOLABILI DEL SACRO
    I libri sacri sono ispirati da Dio in persona e sono stati scritti sotto sua dettatura ed è per questo motivo che i credenti sono così ciecamente credenti e la religione come istituzione esiste.
    E' IMPERATIVO che i testi vengano interpretati alla lettera e non metaforicamente altrimenti la religione scompare in un marasma di interpretazioni diverse.
    Gli ultimi due concili vaticani hanno ribadito l'inenarrabilità della Bibbia.

    Per cui chi interpreta alla lettera non erra, purchè abbia capito quello che ha letto.
    E' così che stanno le cose che piaccia o meno, qualsiasi religioso lo confermerebbe.

    ORIGENE?????
    Un fanatico pazzoide, uno con così poco controllo di se che per non cadere in tentazione si è tagliato le palle.
    Una simile persona non ha proprio nulla da insegnare ma solo da imparare.
    Amen

    Gianni

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  8. I testi sacri NON sono stati ispirati da Dio ma da antiche anime che si incarcano in determinati periodi "fertili" spiritualmente perlando (avatar) e portano avanti la Verità conquistata per esperienze. Dio è un altra cosa. La Chiesa interpreta alla lettera per fini personali (come Biglino) e da regole per fini personali. Dentro la Bibbia (o il Corano) c'é scritto altro. L'insegnamento é UNO non tanti... chi interpreta in altri modi é perché non ha le CHIAVI per capire. La scuola Alessandrina non si può mettere in discussione (pur con i suoi difetti ) perché è da li che le cose sono arrivate a noi. Detto questo... Se si interpreta alla lettera certi testi si rischia l'effetto contrario e voi sui blog buttate benzina su un fuoco che finirà per bruciare anche voi. Questo conta. Non che Origene si è castrato...

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  9. Esistono il Bene e il Male ma non esistono le religioni o meglio,secondo me,l*uomo ne può fare tranquillamente a meno,perché egli al momento della sua Creazione è stato dotato di un qualcosa che la Scienza non riesce ancora a definire che noi chiamiamo Coscienza.Ed è essa la vera religione che unita al cuore e alla nostra sfera emotiva e sentimentale,ci da la libera facoltà di scegliere la via del Bene o del Male.Il mondo potrebbe vivere benissimo senza movimenti religiosi o filosofici,basterebbe che esso ascoltasse nel suo agire terreno solo e soltanto la sua Coscienza dove dimora da sempre l*impronta eterna del suo Creatore.Emilio

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    1. Emilio mi stupisci piacevolmente.
      Tu sei un seguace di Gesù, che è proprio il perno della religione cristiana, dire che non esistono le religioni suppongo che per un credente di Gesù è blasfemia.
      Gesù non è un messaggio in bottiglia ma nei vangeli la base.
      Un tempo ti avrebbero bruciato, ritieniti fortunato che i tempi sono cambiati.
      Detto questo quello che hai detto è molto condivisibile purtroppo la coscienza pare si sia smarrita, l'impronta del creatore pare è ricoperta di tanta polvere.

      Gianni

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  10. Vorrei avere più dettagli su queste "antiche anime incarnate" che avrebbero ispirato le antiche scritture. Non nego che possano esistere visto che non ne so nulla, ma dovrebbero esprimersi proprio attraverso certi testi antichi?
    Hai quindi la certezza che l'antico testamento (ad esempio) sia un testo di elevato tenore spirituale?! Potrebbe essere per carità, tutto può essere, ma basta leggerne i contenuti (e non parlo solo della parte riguardante i comandamenti, che parla da sé), sembra vero proprio il contrario ... :)

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  11. Mi pare di ricordare che Dio in persona parlava direttamente a Mosè ed ad altri profeti.
    Mi pare anche di ricordare che era Dio in persona a dettare le regole nella Bibbia.
    Mi pare anche che il Dio biblico era molto geloso, guai a chi ascoltava altre voci, avatar e affini.
    Ma forse ho letto la Bibbia della concorrenza.

    Gianni

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  12. Una aggiunta doverosa
    Pare che l'inquisizione con vesti diverse è sempre attiva.
    Dire: "un fuoco che finirà per bruciare anche voi", significa fare l'inquisitore o così o rogo, brrrrr, meno male che siamo anonimi così siamo sicuri che non ci daranno fuoco.

    Gianni

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  13. Ciao Catherine. Quando l'Essenza eterna (Dio) ha emanato per fare esperienza di sé, si sono originate anime primordiali (avatar). Queste poi hanno "deciso" di non tornare alla "fonte" ma di continuare a incarnarsi in esseri particolari e persone particolari e in determinati periodi ciclici, per compiere cose (anche negative) ma comunque per dare l'imput per una evoluzione non solo umana ma di tutto il "creato".
    Per quanto riguarda i comandamenti:
    Sono la sintesi della Torah ebraica dettata da Dio a Mosè cioè ... Mosè era una di quelle anime antiche. Il problema è che i comandamenti essendo passati da varie mani hanno perso il significato GHEMATRICO cioè numerico. La Torah é un codice preciso dove ogni precetto ha un valore numerico e un preciso modo di vivere. Io purtroppo non ho ancora le chiavi per capire certe cose. Si va sulla cabala e sul misticismo ebraico che sto studiando. É una strada ardua per me. Forse non è nemmeno la mia ma mi affascina...

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    1. Ok, grazie per le precisazioni.
      Per quanto riguarda il primo punto, e ammesso che sia come dici - cioè non solo tu, visto che è la versione gnostica dell'universo materiale - come puoi affermare che queste "estensioni" abbiano "deciso" qualcosa? Un tema interessante e affascinante senz'altro, ma che presuppone una Volontà (e quindi una coscienza) dell'universo che rimane tutt'ora da provare. Se mai saremmo in grado un giorno di farlo! :)
      Per quanto riguarda i comandamenti, come si fa quindi a determinarne l'origine "spirituale", soprattutto perché la maggior parte di essi - e sono tantissimi - sono spesso in contraddizione tra loro e non hanno nulla di spirituale? Non potrebbero emanare da creature molto materiali come del resto sembra?
      Sul significato numerico, o meglio dire "geometrico", dell'ordine universale, sono affascinata anch'io, e molto più propensa ad ammetterlo, semplicemente perché è logico. Un universo intento a sopravvivere, a adattarsi e a espandersi come meglio può... ma non significa che ci sia alla base una Coscienza della propria esistenza. Non ne so molto, ovviamente, ma mi piace anche seguire queste teorie. Un tema arduo!
      A tale proposito, vorrei sottoporti un vecchio articolo sul tema:
      "Sia nella lingua ebraica che nella lingua greca ad ogni lettera dell'alfabeto corrisponde un numero..." ...ttps://crepanelmuro.blogspot.com/2015/02/numerologia-biblica-1440400.html
      Ciao!

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    2. Il primo Cristianesimo effettivamente ha caratteristiche anche gnostiche.
      Gli avatar essendo specchio dell' Ein Sof hanno la Volontà dell' Ein Sof riflessa e conoscono l'universo, essendo l'Ein sof l'universo stesso. Comunque si parla di un Pensiero che si è fatto materia

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    3. Si, esatto. Rimane la questione millenaria della presunta Volontà dell'universo.. che certamente non risolveremo qui! ;)

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    4. Forse mai... ma é divertente parlarne

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  14. Atunis visto che sei interessato alle cose criptiche se già non lo conosci ti segnalo Sefer Yetzirah, pare estremamente antico in cui ci sono i segreti esoterici ebraici, compreso fare il golem, io ci ho capito molto poco, bisogna essere appassionati di queste cose.

    Gianni

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  15. Mi spiego meglio, ci provo:
    L'EIN SOF (Dio prima dell'automanifestazione) si riflette nell' essenza dell'anima di Mosè e lo usa come CARRO (MERKAVAH ... vedi la visione di Ezechiele; che per Biglino é un astronave e non commento...) per discendere e portare a tutti la Torah il codice per ritornare alla "fonte". Questo è il modo Ebraico per spiegare una Verità che é UNA in tutte le religioni, ma se si interpreta alla lettera... Avrai l'Islam contro il Cristianesimo (pur avendo la stessa fonte cioè ABRAMO),Biglino che gode come Rocco Siffredi e flotte di persone perse nei libri di David Icke...

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    1. In ogni caso distinguerei l'Ein Sof dal dio della Bibbia e da quello di tutti i testi cosiddetti sacri. Potrei sbagliare ma secondo me c'entra poco... :)

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    2. Certo. L'Ein SOF é il Brahman induista. YHWH a volte sembra il Demiurgo gnostico, a volte sembra un soldato, un grande condottiero storico (UMANO!),altre volte é usato negl'insegnamenti celati...

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    3. Era qui che volevo arrivare ;)
      Yahweh è invece spacciato dalla Chiesa come un "dio buono". Ammettendo che non sia una semplice creatura, un guerriero in carne ed ossa, rimarrebbe da comprendre le sue vere intenzioni.

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    4. La chiesa è fatta di uomini accecati dal potere e ... dai bimbi giovani! Credo che molti la dentro non sanno neanche di che cosa stanno parlando. Anche YHWH nella versione condottiero é solo un conquistatore disposto a tutto ... non mi perderei tanto su questo...

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  16. La leggenda del Golem (Gelem=la pietra grezza) é nata a Praga ai tempi di Paracelso dall'interpretazione alla lettera di certi testi (e pensare che Biglino non era ancora nato!). In realtà la mistica ebraica insegna che il Golem piu' che creato va STANATO da dentro di noi. L'alchimia secondo me è molto più chiara sul discorso Pietra Grezza.

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    1. Atunis il golem ebraico è una creatura a tutti gli effetti non una cosa interiore, il Sefer Yetzirah al riguardo è molto chiaro e non lascia spazio ad alcun dubbio.
      Magari la conoscenza pubblica deriva come dici da Paracelso, come conoscenza di iniziati affonda le radici fin dalla più remota antichità.

      Comunque si tratta di cose anti natura che solo i pazzoidi fanno, creare un golem e poi averne il controllo totale è cosa da specialiti del più alto livello. Chi si avventura in questa tematica cammina in una lastra di chiaccio molto sottile, ci vuole niente a sprofondare.

      Personalmente suppongo che se mi ci metto forse e dico forse potrei anche fare uno di tali mostri, folle magari ma di sicuro non sono stupido.
      So per decennale esperienza personale che se ci si avventura in strade oscure alla fine si raccoglie quel che si semina, e non sono dei bei frutti.

      Gianni

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    2. Anche nei trattati alchemici c'é scritto di mescolare lo zolfo col mercurio ed il sale... c'é chi lo ha fatto materialmente... c'é chi ha provato a fare l'oro... certo però che non è questo lo scopo dell'alchimia. Dipende sempre dal livello di sapienza. Se hai le chiavi vai oltre senno' resti lì. Ma come ve lo devo dire?!!?

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    3. Atunis stando alle mie informazioni l'alchimia è lavorare dentro se stessi e non sulle cose materiali, ed è di una semplicità stupefacente.

      Hanno usato l'espediente del fare l'oro per potere esistere e non finire sul rogo, così mentre alchimisti fasulli trafficavano con ampolle, fuochi e sostanze varie i veri alchimisti se la ridevano alle spalle di tutti sopratutto la chiesa.

      I testi alchemici sono ridondanti all'eccesso di parole, le immagini assurde e così via. Se conosci la chiave di lettura scopri che tutta questa assurda ridondanza e simboli assurdi hanno lo scopo preciso di nascondere la conoscenza che è gioiosa e divertente, gli alchemici si sono sbizzarriti a divertirsi con parole e immagini per fare perdere ogni traccia del loro lavoro.

      Ti faccio un esempio, ACCIAIO, lo trovi tantissimo con uno sterminio di nomi diversi i più assurdi, chi conosce il codice è interessato solo alla parola acciaio e sa a cosa si riferisce che con il metallo o tagliare non ha nulla a che fare e sa cosa sta dicendo l'alchimista.

      Il percorso alchemico lo trovo bellissimo, ma non è il mio percorso, parecchie cose alchemiche sono anche nello sciamanesimo e suppongo anche altrove.

      Gianni

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  17. Gianni,io sono e sarò sempre orgoglioso di essere un seguace di Cristo.La blasfemia è un termine stupido e ottuso inventato dai falsi cristiani che hanno portato la Chiesa di Gesù alla rovina.Io volevo semplicemente dire che se ognuno di noi svegliasse la sua Coscienza e liberasse dalla polvere la sua impronta divina e farebbe in questa vita solo e soltanto del Bene a tutta l*Umanita*,uomini e animali compresi,a questo punto le religioni non avrebbero più ragione di esistere.Sarebbe in questo caso già nato l*uomo nuovo che capirebbe che l*unica ragione per la quale siamo stati creati e per la quale viviamo è una soltanto,quella non di odiare ma bensì di amare incondizionatamente tutto il Creato.Gesu*non è un messaggio in bottiglia ma rappresenta bensì l*anelito umano verso l*Assoluto.Emilio

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    1. Emilio ovviamente hai ragione, purtroppo vedi da te in che condizioni hanno portato l'intero creato.
      Fare del bene ed essere collaborativi è tra i programmi di base che abbiamo fin dalla nascita, poi spenti.
      Comunque noi siamo molto più efficaci di quanto fa supporre in nostro numero ridotto, le idee etiche sono come un virus che attecchiscono facile.

      Gianni

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